15 avril 2024
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Saint Benoît-Joseph Labre est un mendiant mort en 1783
Voici une vraie vie de pauvre, assez rare parmi les saints reconnus. Benoît-Joseph était l’aîné d’une famille de paysans du nord de la France, jeune paysan il voulait devenir moine chartreux, mais il ne réussit pas à trouver un couvent qu’il l’acceptât, on le trouvait trop jeune, de santé trop fragile, sans doute trop désargenté…
C’est donc dans l'errance et le pèlerinage perpétuel qu’il vécut à une époque où ce genre de vie n’était pourtant plus guère apprécié. En sept ans, il parcourut près de 30.000 kilomètres d'un sanctuaire à l'autre, en Espagne, en Suisse, en Allemagne et jusqu'en Pologne, vivant dans le plus extrême dénuement, partageant avec les pauvres, les soupes populaires et les humiliations, priant toujours et toujours patient.
C'est à Rome qu’il aboutit passant ses journées en prière dans les églises, logeant avec tant d'autres pauvres dans les ruines du Colisée, partageant avec eux ce qu'on lui donnait. Le mercredi saint 1783, on le ramassa mourant sur les marches d'une église.
Dès sa mort connue, les gamins et le peuple de Rome s'en allèrent par les rues de Rome en criant :"Le saint est mort!" Les miracles se multiplièrent sur son tombeau. Il bénéficia ainsi d'un culte précoce et populaire, canonisé en 1883 il est le patron des pauvres et des exclus.
Voici une vraie vie de pauvre, assez rare parmi les saints reconnus. Benoît-Joseph était l’aîné d’une famille de paysans du nord de la France, jeune paysan il voulait devenir moine chartreux, mais il ne réussit pas à trouver un couvent qu’il l’acceptât, on le trouvait trop jeune, de santé trop fragile, sans doute trop désargenté…
C’est donc dans l'errance et le pèlerinage perpétuel qu’il vécut à une époque où ce genre de vie n’était pourtant plus guère apprécié. En sept ans, il parcourut près de 30.000 kilomètres d'un sanctuaire à l'autre, en Espagne, en Suisse, en Allemagne et jusqu'en Pologne, vivant dans le plus extrême dénuement, partageant avec les pauvres, les soupes populaires et les humiliations, priant toujours et toujours patient.
C'est à Rome qu’il aboutit passant ses journées en prière dans les églises, logeant avec tant d'autres pauvres dans les ruines du Colisée, partageant avec eux ce qu'on lui donnait. Le mercredi saint 1783, on le ramassa mourant sur les marches d'une église.
Dès sa mort connue, les gamins et le peuple de Rome s'en allèrent par les rues de Rome en criant :"Le saint est mort!" Les miracles se multiplièrent sur son tombeau. Il bénéficia ainsi d'un culte précoce et populaire, canonisé en 1883 il est le patron des pauvres et des exclus.
BONNE FETE AUX BENOIT-JOSEPH
Demain nous fêterons saint Anicet